MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA POPULATION

Madame Jacqueline Lydia MIKOLO, Ministre de la santé et de la population a visité l’hôpital de base de Bacongo

Madame Jacqueline Lydia MIKOLO, Ministre de la santé et de la population a visité l’hôpital de base de Bacongo et n’a pas trouvé ledit hôpital au niveau d’un hôpital de base. « On aurait pu lui donner le niveau d’un centre de santé intégré à la limite », a souligné la Ministre de la Santé et de la Population lors d’une visite sur les lieux.

L’hôpital de base du deuxième arrondissement de Brazzaville, Bacongo, est en proie à d’énormes difficultés comme le souligne sa directrice générale, Nicole Irène MALONGA TSIEYA. « (…) C’est surtout en ce qui concerne l’eau. Nous avons la bâche à eau mais l’eau ne coule pas dans les salles, le circuit électrique est défectueux, le matériel en panne », a-t-elle déclaré lors de la visite de la Ministre de la Santé et de la Population, Madame Jacqueline Lydia MIKOLO a d’ailleurs constaté les conditions précaires de travail des agents, le manque criard du personnel, les problèmes d’insalubrité…Il est relever que cet hôpital a été inauguré en 2010. Madame Simone LOUBIENGA, Maire Bacongo qui était à ses côtés approuvé son constat.

 Madame la Ministre de la santé a fait le tour d’horizon des services pour qu’aucun détail ne l’échappe. Cette visite s’est effectuée en présence du maire de l’arrondissement, Maurice Maurel KIHOUNZOU. Le constat, dans cet hôpital âgé de près de quarante ans, avec une capacité de plus de 300 lits, a été quasiment le même : « L’infrastructure nécessite des investissements importants », a déclaré Madame Jacqueline Lydia MIKOLO. Le Directeur général de l’hôpital, Docteur Antoine LOUSSAMBOU, s’est dit satisfait du constat fait par Madame la Ministre. Pour le directeur, c’est un acte qui redonne l’espoir, puisque le constat permettra sans nul doute d’améliorer la situation.

 En effet, avant cette visite, la Ministre de la Santé et de la Population avait déjà reçu les fiches d’informations des services techniques. Puisque la réalité ne devait pas s’arrêter à ce stade, la Ministre a donc voulu confronter la situation décrite sur les fiches à ce qui se passe sur le terrain.

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